Juillet 2005 : Non non rien n'a changé, tout...tout a continué oh yeah !


C'est l'histoire d'une trêve que j'avais demandée
C'est l'histoire d'un soleil que j'avais espéré
C'est l'histoire d'un amour que je croyais vivant
C'est l'histoire d'un beau jour que moi petit enfant
Je voulais très heureux pour toute la planète
Je voulais, j'espérais que la paix règne en maître
En ce soir de Noël mais tout a continué
Mais tout a continué
Mais tout a continué

Non, non, rien n'a changé
Tout tout a continué
Non, non, rien n'a changé
Tout tout a continué
Hey hey, hey hey

Et pourtant bien des gens ont chanté avec nous
Et pourtant bien des gens se sont mis à genoux
Pour prier, pour prier
Mais j'ai vu tous les jours à la télévision
Même le soir de Noël des fusils de canons
J'ai pleuré, j'ai pleuré
Dites-moi, expliquez moi pourquoi

Non, non, rien n'a changé
Tout tout a continué
Non, non, rien n'a changé
Tout tout a continué
Hey hey, hey hey

Moi je pense à l'enfant entouré de soldats
Moi je pense à l'enfant qui demande pourquoi
Tout le temps, tout le temps
Moi je pense à tout ça mais je ne devrais pas
Toutes  ces choses là ne me regarde pas
Et pourtant, et pourtant
Je chante, je chante

Non, non, rien n'a changé
Tout tout a continué
Non, non, rien n'a changé
Tout tout a continué
Hey hey, hey hey

C'est l'histoire d'une trêve que j'avais demandée
C'est l'histoire d'un soleil que j'avais espéré
C'est l'histoire d'un amour que je croyais vivant
C'est l'histoire d'un beau jour que moi petit enfant
Je voulais très heureux pour toute la planète
Je voulais, j'espérais que la paix règne en maître
En ce soir de Noël mais tout a continué
Mais tout a continué
Mais tout a continué

Non, non, rien n'a changé
Tout tout a continué
Non, non, rien n'a changé
Tout tout a continué
Hey hey, hey hey

Non, non, rien n'a changé
Tout tout a continué
Non, non, rien n'a changé
Tout tout a continué
Hey hey, hey hey
Hey hey, hey hey

Les Poppys
Paroles: J. Nero, musique: G. Peram

 

Mais hélas ne rêvons pas...les gens sont ingrats  et égoïstes...lâches et paresseux...alors...


Lorsque avec ses enfants vêtus de peaux de bêtes,
 Échevelé, livide au milieu des tempêtes,
 Caïn se fut enfui de devant Jéhovah,
Comme le soir tombait, l'homme sombre arriva
 Au bas d'une montagne en une grande plaine;


Sa femme fatiguée et ses fils hors d'haleine
Lui dirent: - Couchons-nous sur la terre, et dormons. -


Caïn, ne dormant pas, songeait au pied des monts.
Ayant levé la tête, au fond des cieux funèbres
 Il vit un oeil, tout grand ouvert dans les ténèbres,
 Et qui le regardait dans l'ombre fixement.


- Je suis trop près, dit-il avec un tremblement.
Il réveilla ses fils dormant, sa femme lasse,
 Et se remit à fuir sinistre dans l'espace.
 I1 marcha trente jours, il marcha trente nuits.
Il allait, muet, pâle et frémissant aux bruits,
 Furtif, sans regarder derrière lui, sans trêve,
Sans repos, sans sommeil. Il atteignit la grève
Des mers dans le pays qui fut depuis Assur.


 - Arrêtons-nous, dit-il, car cet asile est sûr.
Restons-y. Nous avons du monde atteint les bornes.

 
- Et, comme il s'asseyait, il vit dans les cieux mornes
L'oeil à la même place au fond de l'horizon.


 Alors il tressaillit en proie au noir frisson.
 - Cachez-moi, cria-t-il; et, le doigt sur la bouche,
Tous ses fils regardaient trembler l'aïeul farouche.
Caïn dit à Jabel, père de ceux qui vont
Sous des tentes de poil dans le désert profond
- Étends de ce côté la toile de la tente. -
 Et l'on développa la muraille flottante;


Et, quand on l'eut fixée avec des poids de plomb
 Vous ne voyez plus rien ? dit Tsilla, l'enfant blond,
 La fille de ses fils, douce comme l'aurore;


Et Caïn répondit: - Je vois cet oeil encore! -


 Jubal, père de ceux qui passent dans les bourgs
 Soufflant dans des clairons et frappant des tambours,
 Cria: - Je saurai bien construire une barrière. -
Il fit un mur de bronze et mit Caïn derrière

.
Et Caïn dit: - Cet œil me regarde toujours!


 Hénoch dit: - Il faut faire une enceinte de tours
 Si terrible, que rien ne puisse approcher d'elle.
 Bâtissons une ville avec sa citadelle.
 Bâtissons une ville, et nous la fermerons.

 
- Alors Tubalcaïn, père des forgerons,
Construisit une ville énorme et surhumaine.
Pendant qu'il travaillait, ses frères, dans la plaine,
Chassaient les fils d'Énos et les enfants de Seth;
 Et l'on crevait les yeux à quiconque passait;
 Et, le soir, on lançait des flèches aux étoiles.


Le granit remplaça la tente aux murs de toiles,
On lia chaque bloc avec des noeuds de fer,
 Et la ville semblait une ville d'enfer;
L'ombre des tours faisait la nuit dans les campagnes;
 Ils donnèrent aux murs l'épaisseur des montagnes;
Sur la porte on grava: « Défense à Dieu d'entrer. »


 Quand ils eurent fini de clore et de murer,
 On mit l'aïeul au centre en une tour de pierre.
 Et lui restait lugubre et hagard. - Ô mon père!
 L'oeil a-t-il disparu ? dit en tremblant Tsilla.


 Et Caïn répondit: - Non, il est toujours là.


 Alors il dit: - Je veux habiter sous la terre
Comme dans son sépulcre un homme solitaire;
Rien ne me verra plus, je ne verrai plus rien.


- On fit donc une fosse, et Caïn dit: C'est bien!
 Puis il descendit seul sous cette voûte sombre.
Quand il se fut assis sur sa chaise dans l'ombre
Et qu'on eut sur son front fermé le souterrain,


L'oeil était dans la tombe et regardait Caïn.

( La légende des siècles Victor Hugo)
 

 

les nouvelles ne sont pas bonnes...

comme prévu l'audience du tribunal a une nouvelle fois été repoussée...pour cause d'indisposition du président du tribunal...!!!  on pourrait en rire s'il ne s'agissait pas de la crédibilité de l'impartialité de la justice et des pressions inadmissibles qui s'exercent sur ceux qui en font profession...au détriment de la défense des droits élémentaires des personnes les plus faibles ...mais le puissant diocèse veut tout faire pour repousser l'échéance...et les intérêts des avocats malgré leur serment sont souvent ceux de leurs petits intérêts personnels...

Les affaires de Xavier séquestrées illégalement depuis plus de 3 mois ont été éparpillées dehors suivant les méthodes bien connues  du bouffon du diocèse (à chaque crise des ses démences) qui n'a pas hésité poursuivant son pillage systématique à fracturer la porte fermée à clé, de violer un domicile privé, de porter la main sur des biens qui ne lui appartiennent nullement... cela en toute illégalité bien sûr... et dans le seul but de nuire et de récupérer ce qui lui manquait encore... s'attaquant ainsi à des personnes faibles , sans défense, âgées  et malades...c'est facile...  et très dans la méthode bénédictine musclée revue par CE diocèse... et dans le silence des autorités !


Xavier n'a désormais plus de domicile... continue à dormir sur le carrelage du gîte jadis occupé par la soeur...pour combien de temps?...et bien sûr l'évêché dira qu'il n'est pas au courant...

La soeur continue sa convalescence étroitement surveillée... mais garde toute sa pugnacité en ces temps où la cause des femmes progresse ( de force) en Eglise...

Mis a part le malade dont on n'attend plus rien et qui vacuité ou déchet inutile  brade désormais les affaires volées auprès des gérants des gites de la commune on peut s'interroger à nouveau sur le silence coupable des autorités, des services sociaux, des élus, des voisins, des engagés, des consacrés ou simplement des fidèles du diocèse, de tous ceux qui voient ou savent l'infamie se poursuivre, des habitants du hameau aux autorités locales... et tous ceux qui connaissent la soeur, ont bénéficié de ses services ou de sa présence et se refusent par paresse ou lâcheté à agir...

Architecturalement et spirituellement Léoncel est mort...


 comment regarder encore ce lieu défiguré par le bétonnage, les panneaux publicitaires, les magasins bidon...
le mobilier désastreux à l'intérieur de l'abbatiale transformée elle aussi en débit de presse et cartes postales, salle d'exposition , vente de cierges et forêt de troncs ? ( sans parler de la ridicule vierge en bocal !)

Comment assister encore aux rares offices de celui qui après avoir commis ses exactions d'un même mouvement dans sa schizophrénie galopante sans même se laver les mains s'en va dire une messe...qu'il célébrera avec comme unique pensée en tête celle de planifier ses futurs pillages ?

Et ce n'est pas le ridicule carillon automatique, la pauvreté des expositions ou des représentations, les illuminations nocturnes pour vaches insomniaques ou les marches bidons effrénées du "coucou- amateur de saucisses" qui remplaceront la présence éclairée, accueillante, respectueuse, discrète, aimante de celle qui avait ressuscité ce lieu et savait le faire vivre de l'intérieur malgré le harcèlement et la misogynie qu'elle subissait quotidiennement d'un diocèse jaloux

Non mes amis ne venez plus à Léoncel... allez plutôt à la montagne ...

là où l'abomination ne règne pas encore...

mais désormais Georges... sache que l'oeil ne te lâchera pas...

tu peux bien du haut de tes 65 piges regarder tes mains vides qui n'ont servi au fil de ta vie qu'à voler, tromper ou détruire...
sache que  dans ta nouvelle tombe l'oeil est là et te regarde...

 te posant pour l'éternité les questions : qu'as-tu fait de ta soeur ?...
qu'as-tu fait de ton frère ?...
qu'as-tu fait de Léoncel ?...

 

A bientôt mes amis !

 

 

***  vous tous qui que vous soyez, qui lisez ces lignes et /ou êtes au courant de ces faits et  qui êtes animés par un idéal de justice , de vérité et de révolte envers la situation désespérée d'une femme de 90 ans, restauratrice de ce lieu, dépouillée de son oeuvre par les méthodes illégales et sans scrupules mise en oeuvre par des personnes ayant autorité  et  se disent religieuses vous êtes conviés par votre action a soutenir nos efforts en faisant connaître partout autour de vous les faits inadmissibles qui dénaturent ce lieu "ouvert" à tous et  à agir par toute manière  qui vous paraît appropriée pour que les "responsables civils ou religieux" s'en préoccupent !***

Notre collectif soutient l'oeuvre de  soeur Marie-Françoise en ce lieu, et sa vision du futur : "Léoncel pour l'Europe" et demande réparation des méfaits et harcèlements qu'elle a du subir et subit encore depuis plus de 10 ans, son rétablissement dans ses biens et ses droits ainsi que  l'éloignement définitif de celui qui tout en se prétendant moine est l'auteur de ces exactions ...ainsi que les excuses  publiques du diocèse pour le mal commis en son nom***

D'avance MERCI !

 

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