Avril 2008

 

He oui ! nous sommes toujours là ! à l'heure où dans une situation inchangée et de plus en plus pervertie la secte bidonnante St Hugues et son gourou vont reprendre leurs activités "factices" et rémunératrices ...mais dangereuses

nous avons pu nous apercevoir que le hi-jacking des biens  en toute illégalités était devenue une pratique courante en milieu ecclésial ...mais avec des réussites diverses et heureusement pas aussi sauvages que celles pratiquées naguère en ce lieu et qui se poursuivent d'ailleurs pas des pressions sournoises pour empêcher tout retour de la soeur sur place !

Jean Cardonnel gagne son procès contre l’ordre des Dominicains

samedi 8 mars 2008

Jean Cardonnel gagne son procès contre l’ordre des Dominicains

Le tribunal de Montpellier a condamné, le mercredi 5 mars, le prieur du couvent des dominicains de Montpellier pour « violation de domicile au sein du couvent » en question. Rappelons brièvement les faits :

Michel Mathieu, le prieur à l’époque du couvent des dominicains de Montpellier, avait « vidé » manu militari les affaires de la cellule qu’occupait son frère en religion, le Père Jean Cardonnel, avant le départ en voyage de ce dernier à La Réunion pour des conférences.

Les faits se sont déroulés en 2002. Jean Cardonnel avait demandé expressément,dans la perspective d’une éventuelle affectation dans un autre couvent, que ses affaires restent, jusqu’ à son retour fixé de manière précise et connu des responsables dominicains, dans sa cellule située dans ce couvent où il résidait depuis 1958.

Michel Mathieu, le prieur du couvent n’avait rien voulu savoir et avait mis les effets et les affaires du Père Cardonnel dans des sacs poubelles déposés en pleine rue aux abords du couvent.

Le tribunal de Montpellier l’a donc condamné à 1 000 euros d’amende avec sursis pour violation de domicile après que le Père Jean Cardonnel a déposé plainte le 27 novembre 2003 pour violation de domicile.

« C’est la première fois en France qu’un tribunal reconnaît que la cellule d’un prêtre est un domicile privé » indique l’avocate de Jean Cardonnel qui a donc été mis à la porte de son couvent durant son voyage dans l’Océan Indien (pour en savoir plus voir à ce sujet Golias hebdo numéro 12).

Et le conseil du Père Cardonnel de poursuivre : « Quand Michel Mathieu,le responsable du couvent, a décidé de pénétrer dans la cellule en l’absence et sans l’autorisation de Jean Cardonnel, il a commis un délit qui s’appelle la violation de domicile privé ».

De son côté, l’avocat du prieur incriminé a refusé de faire un quelconque commentaire à la suite du délibéré. L’ordre des Domincains vient de faire appel du jugement du tribunal.

Après son expulsion, Jean Cardonnel avait été contraint de vivre durant plusieurs mois chez des amis avant d’être accueilli dans une maison de retraite gérée par la municipalité de Montpellier. Maison de retraite où il vit désormais.

Jean Cardonnel fêtera prochainement ses 87 ans. A cette occasion Les éditions Golias publieront son nouvel ouvrage « Mai 68:de l’insurrection à la Résurrection » (sortie prévue en avril prochain).

- Nous rappellerons qu’à Léoncel la même chose s’est produite avec violations multiples et destructions de mobilier puis appropriation illégale d’un lieu de rencontre avec la bénédiction d’un diocèse roublard qui préfère baisser son slip devant un gourou pervers plutôt que de combattre sa misogynie congénitale...

- Rappelons aussi que le diocèse doit plus de 200000 euros à Sr Marie Françoise qui se morfond d’ingratitude depuis plus de 2 ans dans un mouroir hospitalier et sous le mépris des "cathos" du lieu qui préfèrent se contempler le nombril

nous avons pris contact avec le Père Cardonnel afin qu'il nous conseille utilement dans le cas où une nouvelle action judiciaire serait engagée par nous même dans cette affaire

Outre les dérives sanitaires ( aucun contrôle hygiénique) , sécuritaires ( aucunes mesures réglementaires d'hébergement) et l'obscurité de la gestion financière que vous connaissez nous tenons à vous mettre en garde :

Les thérapies dites chrétiennes mises en œuvre actuellement dans les « centres chrétiens » types "association-st Hugues ( terme volé à Soeur Marie-Françoise et détournée de sa vocation première en toute illégalité) de frère Georges faux moine mais vrai gourou à Léoncel relèvent plus d’une religiosité que de la foi chrétienne en tant que telle.

L’Eglise catholique est aujourd’hui en danger car le cœur même de son existence théologale et pastorale est touché. Les évêques interpellés à ce sujet demeurent à l’écoute certes, mais passifs et réduisent les problèmes évoqués à de simples accidents de parcours marginaux. Notre enquête sur les conséquences et les moyens d’application de cette religiosité du psycho-spirituel au sein même de la communion ecclésiale démontre au contraire son développement et sa perversité car elle gagne en influence nombre de secteurs ecclésiaux.

Une personne peut pour diverses raisons se faire happer dans des sessions dites de "guérison intérieure" ou de "marches contemplatives" voire "d'écoute de Grégorien" ou de conférences sur les "pères de l'Eglise" camouflées sous diverses appellations comme "marche et prières"...ou "racket et prières " ou "sport d'hivers et prières" "conférences spirituelles " etc... mais dont le fonctionnement destructeur reste le même.

Le pseudo thérapeute s'efforce pour des raisons financières et de prise de pouvoir des consciences d' induire  une relation fusionnelle perçue par la personne comme sécurisante et qui la place en dépendance en la faisant entrer dans une démarche régressive. Le thérapeute utilise la fragilité, le mal-être ou la souffrance lié aux manques de la personne (crise d’adolescence, crise du couple, deuil, maladie, difficultés de travail, etc…) pour l’amener à découvrir qu’elle a subi des blessures qui sont, par lui, tantôt supposées, tantôt interprétées, ou même suggérées.

Pour cela, il propose un « cliché idéal » de dialectique prétendue ascendante, dans une démarche fusionnelle . Il fausse la mémoire (sont même souvent mises en place de fausses mémoires où des jeunes filles vont accuser leur père d’inceste. Accusation vérifiée sans fondement) dans une manipulation qui fait une lecture du vécu réel selon les seuls critères du « cliché idéal ». Il en résulte d’abord que les proches sont l’origine et la cause de tous les maux ainsi démontrés, que la personne pour sa part n’a aucune responsabilité puisqu’elle est victime.

A partir de ces constructions il propose - en réalité  induit - une grande confusion où beaucoup de personnes croient n’être que dans une démarche spirituelle et où d’autres ne pensent vivre qu’une thérapie. Une démarche dite de « guérison intérieure » psycho spirituelle où les liens avec les proches vont être faussés, distendus ou rompus, dans une manipulation où le psychologique utilise le spirituel et où le spirituel camoufle et justifie le prétendu psychologique ; en conséquence de quoi la liberté de la personne est remise au dit thérapeute-manipulateur (une liberté confisquée, puisqu’on refuse au sujet la responsabilité de ses actes rejetée sur les autres). Ceci a pour effet d’enfermer la personne dans une relation fusionnelle avec le gourou auto investi d’une toute puissance absolue. Ce qui est visé içi

La personne ainsi séduite, déstabilisée, détruite et reconstruite selon ces normes va devenir un agent déstabilisant et destructeur de son milieu familial qu’elle soumet à des relations affectives malsaines (chantage, sadisme et conflit). En effet, plutôt que se situer comme le demande Jean-Paul II dans sa deuxième encyclique « La Miséricorde divine » où on peut lire p. 120 Ed. Tequi : « Il est évident qu’une exigence aussi généreuse de pardon n’annule pas les exigences objectives de la justice. La justice bien comprise constitue pour ainsi dire le but du pardon… En chaque cas, la réparation du mal et du scandale, le dédommagement du tort causé, la satisfaction de l’offense sont condition de pardon. » L’adepte qui a abîmé ou brisé ses liens avec ses proches est seul. Il est dépersonnalisé et nié par le gourou. Il est devenu son objet et son jouet. voire sa pute
 D’où le déni dans lequel il met ses proches qu’il fait souffrir sans aucune culpabilité objective, car il ne peut les regarder comme des personnes. L’adepte est pris dans le non amour d’une toute puissance narcissique perverse ; il y subit un ressenti infantile en relation de dépendance et de régression avec son soi-disant thérapeute. Avec sa famille, une relation malsaine peut-être maintenue tant qu’ils acceptent d’être devenus boucs émissaires reconnus porteurs de tout ce qui est négatif et de tout ce dont on les charge. Une relation redéfinie par le berger thérapeute dans le seul cadre de la communauté.

Exemple vécu par des "passants" quand ils arrivent près de la "communauté", personne ne les salue, ils dérangent.
aucune question ne peut être posée aux "clients" sur ce qu’il vivent dans la communauté sans une réponse cinglante.
 On ne peut parler de la communauté où tout est secret.
les lettres et les questions sont soumises au sous gourous ou au "maître"…
Le "client" est totalement sous la coupe du berger qui par la « thérapie » analyse pour lui toute la famille.

On peut dire que dans ce non amour, tout est permis à l’adepte. Comme tout est permis au gourou qui agit sur l’adepte et par lui sur ses proches. Pour les relations ou la famille, déstabilisés par la souffrance et l’incompréhension qu’ils subissent ainsi, toute approche est interdite puisqu’ils veulent aimer et qu’ils aiment réellement alors que celui qui les déstabilise épouse la haine du gourou ; donc il devient gourou, c’est-à-dire manipulé-manipulateur.

Pour l’adepte, persuadé qu’il doit guérir de son mal être provoqué, la secte est le seul lieu de guérison intérieure donc le seul lieu qui se présente comme d’Eglise. De plus on l’a amené par transferts affectifs à faire de son thérapeute ses parents et de la communauté sa famille. Les blessures remplacent le péché, il ne peut y avoir de culpabilité car l’amour est détruit par une construction intellectuelle mise à la place de l’affection où l’autre est instrumentalisé.

Pour vivre dans la communauté, il faut être blessé. « Je suis blessé donc je suis ». Etre reconnu par la communauté passe par là. Ce qui met le sujet dans l’obligation de s’auto manipuler au quotidien tout en subissant d’autres manipulations d’adeptes ou de gourous. Il renie son vécu antérieur désigné comme mauvais. Il renie ainsi ce qui l’a construit, il se renie sans le savoir, pour devenir l’image imposée par le gourou thérapeute.

Sous l’emprise de la communauté et de ses dits “bergers”, mais en fait de ses gourous, les liens du sujet avec ses proches ne peuvent être que manipulations des proches par le sujet selon les pratiques de la communauté, car retrouver son vécu réel mettrait en danger la construction psychique fabriquée par le thérapeute qui agit pour la communauté et instille sous le nom de communauté un communautarisme.

 Les témoignages que nous avons recueillis montrent que les "clients" qui retournent quelques jours chez eux retrouveraient leurs relations familiales mais se défendent de reprendre leur place dans la famille pour sauvegarder le communautarisme imposé. Partant de là, il ne peut y avoir de miséricorde, ni de pardon, puisque le sujet fonctionne dans le déni de l’autre, le non amour et la toute puissance. La grâce sanctifiante n’est plus. La seule chose qui existe est le chemin de guérison, seul projet de vie, par psychothérapie prétendue psycho spirituelle. La spiritualité bascule sur le psychisme altéré ne vivant que dans le ressenti uniquement subjectif sans lien d’intuition ou de rationalité avec un autre sujet que soi.

La guérison non définie est la finalité de cette foi dans un enfermement pathologique . L’idéologie de la guérison y donne l’illusion d’une écoute à la souffrance de l’autre et donc aussi l’illusion d’une relation humaine. Mais le sujet manipulé a besoin d’être assuré de sa toute puissance car si le proche désigné comme bouc émissaire devient réactif ou résistant il risque à son tour d’être déstabilisant pour le sujet et le système. Le sujet pour se sécuriser va alors utiliser des membres fragiles de la famille (fragilité mentale, conflit, manque de discernement, etc...). Par là il les déstabilise et les fait adhérer à sa thèse désignant le proche mauvais. Eux-mêmes vont alors avec lui mettre en place un système pervers d’exclusion et d’isolement pour rejeter de leur famille la personne désignée nocive, qui la plupart du temps subit sans comprendre. Tous les témoignages de parents victimes de cette manipulation ont vécu cette étape mise progressivement en place, avec divers cas de figures.

Un couple de médecins engagés dans la Fraternité St Camille de Lellis a isolé la maman en quelques mois et essayé de capter les autres membres de la famille qui ont débusqué à temps la manœuvre destructrice. Cette maman n’a plus de relations avec ce couple et est privée de ses petits-enfants. A ses questions sur le pourquoi d’un tel comportement, il lui a été répondu « qu’il y avait des non dits puissants dans la famille et qu’il fallait qu’elle fasse un chemin de vérité… » La maman souffre encore sans comprendre…
D’autres parents ont vu leur famille totalement détruite, leurs enfants rejoignant un à un le discours de l’enfant manipulé en se retournant contre eux sans explication…

Il s’agit là d’une des plus violentes manipulations mentales pour tuer un être psychiquement et parfois par voie de conséquences le tuer physiquement. Violence de type proche du satanisme. Cette conséquence logique de la perversité narcissique établie en religiosité est le fonctionnement habituel de ceux qui pratiquent et de ceux qui subissent comme adeptes les techniques des prétendues thérapies psycho spirituelles...;commes celles qui s'établissent à Léoncel sous la houlette d'un faux moine et mais vrai gourou..;complètement "malade"

Récemment toujours sous le prurit de son manque de goût il a enfin enlevé l'aquarium "protecteur" d'une infâme statue de Madone qui défigure l'une des absides ...en lieu et place de la splendide icône œcuménique qui servait jadis de support méditatif ...et s'est débarrassé du dit aquarium dans la boutique de la soeur ( comme il l'a fait pour tous les meubles détruits par lui qui garnissaient la maison St Hugues et qu'il ne pouvait pas revendre ) n'hésitant pas à nouveau d'en forcer l'entrée !...et puis les autres pour les bénédictins ce sont des larbins ou des détritus pas vrai ?

Charité bénédictine comme toujours !

Pour asphyxier l'activité du "chalet" de la soeur le gourou incite ses clients à venir stationner devant l'entrée afin d'en empêcher l'ouverture des portes
charité bénédictine toujours mes amis
et illustration de la petite guerre livré par ce "religieux" maniaque et  pervers  depuis plus de 10 ans !

***Alors... si vous allez à Léoncel méfiez vous des arnaques et prenez garde à la secte !
et agissez  pour que ce lieu retrouve son charme de jadis !!
Votre aide est plus précieuse que jamais car il est peu probable désormais que le "gourou pervers" puisse rester longtemps ...tout dépend en fait de votre aide pour bouter les faiseurs de fric ou d'illusions de ce lieu tranquille ! Ensemble nous le ferons !***

Hors de Léoncel les gourous !

( à suivre)

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